InfoLettre Juin 2025

Comment guérir Grand-Mère-Terre

par Don Rutledge, Crie des Plaines  nêhiyawak ,  Pipe keeper


         « La technologie à elle seule ne peut pas guérir la terre. Nous avons besoin de changer de valeurs, de reprendre conscience de la spiritualité qui nous nourrit et nourrit la terre. Cessons de penser que toute forme de vie est seulement destinée à la consommation de l’homme, Nos styles de vie devraient rechercher moins le confort afin que Grand-Mère-Terre soit revitalisée.
Nous pouvons nous éduquer sur l’environnement, mais nous n’avons pas besoin de disséquer le mystère de la vie. Je crois qu’il faut maintenir le mystère et la peur pour relever notre chemin. Albert Einstein disait : « La plus belle chose dont nous pouvons faire l’expérience, c’est le mystère. C’est la source de l’art et de la science vrais. »
        Ce qui suit est une énumération des moyens pour essayer de guérir la terre. Ils sont fondés sur la tradition amérindienne, et ils aident non seulement à accepter les mystères de la vie, mais aussi à se développer personnellement :


  • Prenez le temps de retourner une pierre et regardez le monde qui vit dessous. Ensuite replacez-la comme elle était.
  • Apprenez à savourer et à apprécier les différentes saisons et les changements de climat.
  • Célébrez la vie à chaque fois que vous en avez l’opportunité.
  • Accueillez l’inconnu et enveloppez-en votre corps comme d’une nouvelle couverture.
  • Riez de vous lorsque tout est mauvais. Regardez ce qu’il y a de bon.
  • Si vous avez le choix entre rire et pleurer, essayez de rire, mais le fait de pleurer est naturel et sain.
  • Si vous construisez une maison dans les montagnes, n’arrachez pas la montagne.
  • Quand vous utilisez de l’eau, servez-vous de chaque goutte sagement comme si vous étiez dans le désert avec une quantité limitée.
  • Utilisez seulement ce dont vous avez besoin pour entretenir le cercle de votre maison.
  • Donnez des remerciements pour la nourriture dont vous disposez.
  • Ne chassez que ce qui est nécessaire pour vous nourrir. Ne tuez les animaux que pour la nourriture.
  • Ne tuez pas les prédateurs tels que les serpents. Vivez en harmonie avec les insectes et les araignées.
  • Respectez ceux qui sont sur d’autres chemins.
  • Mangez sainement, la vie donne d’autres nourritures.
  • Aidez les gens dans le besoin.
  • Apportez votre soutien aux causes qui veulent sauver la terre.
  • Savourez chaque jour en vivant au jour le jour.
  • Utilisez une action positive plutôt qu’une pensée négative.
  • Cultivez votre jardin spirituel comme vous le feriez d’un jardin potager, avec effort et soin.
  • Ressentez l’esprit de la nature lorsque vous êtes au grand air.
  • Ecoutez les sons des animaux.
  • Voyagez avec peu de bagages.

 

L’Ordre naturel

Les Amérindiens ne pensent pas que les animaux doivent être gardés en cage même pour leur sécurité. Quand un animal est tué pour la nourriture, il est naturel d’utiliser sa fourrure ou sa crinière pour se vêtir. De cette manière, l’être tout entier est respecté. Dans le cercle de la vie, l’ordre naturel veut que chaque animal soit la proie d’un autre. (…) Les Amérindiens utilisent des fourrures depuis des siècles. Elles leur permettaient de rester en vie durant les hivers froids. Mais les animaux étaient libres jusqu’à leur mort, autant que les Amérindiens, qui étaient aussi des proies pour certains animaux. Quand nous ne respectons pas ce cercle, le résultat nous donne quelquefois une leçon.


Le monde de l’Animal sacré

 Les Amérindiens avaient un profond respect pour les animaux sauvages qu’ils chassaient et avec qui ils partageaient le territoire. Ensemble, ils vivaient leur vie pleinement jusqu’au dernier souffle. Quand la mort venait, elle était acceptée comme un acte naturel. (…)  Les Amérindiens imitaient et apprenaient les techniques de survie des créatures ailées, à nageoires ou à quatre pattes. Par conséquent, nous avions du respect pour les animaux que nous tuions pour manger, et nous disions des prières pour les remercier de donner leur vie pour assurer la nôtre.  (…) Dans les traditions amérindiennes, il n’est pas rare que les animaux nous parlent. Beaucoup ont raconté des histoires sur la façon dont ils avaient conversé avec des animaux, des oiseaux et des insectes. Je crois que la communication entre les humains et ceux qui appartiennent au monde animal ne se fait pas avec des mots, mais avec un lien spirituel qui nous dirigera vers ce que l’animal veut nous montrer. Aucun animal ne m’a jamais parlé, mais je sens qu’ils sont mes guides. (…)

Les plumes, spécialement celles de l’aigle, peuvent servir dans les cérémonies de la danse, de la guérison, et pour d’autres médecines afin d’aider à se garder un chemin sans aspects négatif et sans maladie. (…) Les plumes d’aigle viennent aux gens qui savent les employer d’une manière spirituelle. (…) Elles gagnent en pouvoir spirituel quand elles sont utilisées pour la prière ou pour une cérémonie. (…) Nous pensons que, si une personne obtient des plumes d’une mauvaise manière, elles seront mangées par les punaises et retourneront à la nature. (…)


Les Cérémonies

 Toutes les cérémonies amérindiennes ont lieu dans un cercle sacré, que ce soit celui de l’Univers, de la zone dans laquelle nous vivons ou celui du petit cercle des personnes qui nous entourent. Le quotidien des Amérindiens est imprégné de cérémonie, depuis leur lever jusqu’à ce qu’ils s’endorment. Ils commémorent chaque instant de la vie, de la naissance à la mort, les bons comme les mauvais moments. Les célébrations font partie de leur vie et leur permettent de rester en relation avec eux-mêmes, leur famille et leurs amis, la Terre, le Créateur et l’Univers, de s’éloigner des tâches quotidiennes et de la lutte de chaque jour. (…)


La Musique

 Les chants font partie de notre monde spirituel surnaturel et de notre vie quotidienne. Ils reflètent nos différentes humeurs et accroissent le pouvoir de notre médecine. Chaque cérémonie comprend des chants : la pipe sacrée, la cabane à sudation, la danse du soleil, les powwows, la mort, la guerre, les moissons. Nous avons aussi des chants pour le tabac, la guérison, l’humour, et pour presque tout ce que nous faisons. (…) Une chanson peut contenir un message aux Ancêtres, à Grand-Mère-Terre, ou au Créateur. Nous chantons dans notre langue natale, parfois accompagnés au tambour, comme pour une litanie.

       Les tambours gardent le rythme des battements cardiaques. Le fait de savoir jouer du tambour peut venir d’un instinct naturel, comme lorsque nous frappons avec un crayon sur le bureau, ou encore lorsque nous faisons courir un bâton sur une clôture. Pourtant cela prend une plus grande signification pour les Amérindiens. Le tambour est considéré comme un cadeau du Créateur. Beaucoup pensent qu’il projette le son du tonnerre. Il a de nombreuses tailles et des formes différentes. (…)
Le battement du tambour reste en harmonie avec le rythme du corps et les battements cardiaques, peu importe qu’il soit rapide ou non. Les chants qui ne respectent pas notre rythme biologique peuvent créer des désordres dans l’esprit, le corps et les pensées. A l’occasion, je prends moi aussi mon tambour, je le joue et je chante. Il m’aide à évacuer quelques-unes de mes frustrations et me berce. Parfois, j’ai juste besoin d’entendre sa magnifique sonorité ; d’autres fois, j’ai simplement envie de le faire résonner. Souvent, il fait ressortir l’enfant qui est en moi. Jouer du tambour apaise et rend sain.
(…)
     
 Les hochets  sont utilisés dans les cérémonies de guérison par les prieurs qui ont besoin d’appeler les esprits. Ils sont fabriqués dans une variété de courge évidée ou dans du cuir brut tendu et rempli de cailloux, de sable, de perles, de petits os et de grains secs. 


La Pipe sacrée

 Dans la plupart de nos cérémonies, nous utilisons la pipe sacrée pour demander l’aide des esprits et envoyer des messages au Créateur. (…) A mes yeux, ma pipe est sacrée, et je l’utilise pour différentes raisons. La pipe sacrée est une sorte d’autel portable et représente la chair du peuple. Toutefois, lorsque je priais sans pipe avant de la recevoir, le Créateur répondait quand même à mes prières. Même si le Créateur entend nos prières et y répond quand nous sommes seuls, lorsque nous l’invoquons en groupe avec la pipe, nos prières unies sont plus puissantes. (…) J’ai réalisé que ce n’est pas parce qu’une personne est en possession d’une pipe qu’elle sait l’utiliser à la manière amérindienne, ni qu’elle est forcément une personne-médecine. Pourtant chacun a droit à sa propre médecine. Mais seule une personne qui a reçu les directions d’un Homme Saint dans la tradition amérindienne est autorisée à faire une cérémonie pour les autres ; toutefois les individus peuvent se rassembler pour prier avec leur propre pipe sacrée.


Le Cercle sacré

 Nous pensons que les choses sont liées de façon circulaire et que les cercles peuvent être infinis ou minuscules. Votre pensée ou la circonstance sont les seules choses qui délimitent la taille du cercle. Toute création possède son propre cercle sans commencement ni fin.
En tant qu’individu, nous sommes le centre de notre propre cercle. Lorsque le cercle d’autres créatures est cassé ou détruit, le nôtre aussi est endommagé, parce que tous s’imbriquent et interfèrent les uns dans les autres.
(…) Heureusement, comme le Phoenix renaissant de ses cendres, des millions de personnes à travers le monde travaillent ensemble à réparer ces cercles brisés et à guérir Mère-Terre. En prenant connaissance de notre environnement et en cherchant à le restaurer, nous guérissons non seulement notre propre cercle, mais aussi bien d’autres. (…)
Les Amérindiens ont de nombreuses façons de visualiser le cercle sacré. Certains le font avec une roue de médecine faite de leurs couleurs personnelles, d’animaux, de plantes, ou de pierres, représentés à des endroits spécifiques de la roue.
(…)
Les « directions » sont le Nord, l’Est, le Sud et l’Ouest, ainsi que le Haut et le Bas. Pour nous, les Amérindiens, elles sont des instructions pour notre chemin et impliquent une certaine manière de faire les cérémonies et les rituels. Nous avons tous nos propres directions, routes et chemins à suivre.
(…) Je ne crois pas que nous fassions entrer la spiritualité en nous ; je pense que c’est une chose qui est à l’intérieur de chacun d’entre nous et qui s’extériorise grâce aux prières. (…)
Nous savons aussi que certains esprits nous aident et nous guident sur nos chemins. Ces esprits peuvent être des animaux, des ancêtres, ou des entités mystiques, telles que l’Oiseau-Tonnerre.
(…)

A mon sens, la spiritualité des Indiens d’Amérique n’est pas une religion, ni un système organisé de foi et de culte. C’est une façon de vivre, un chemin. Elle nous enseigne le respect pour Mère-Terre et la gratitude pour tous ceux qui l’habitent. Bon nombre de nos cérémonies et de nos rituels sont faits pour remercier la Terre et le Ciel de nous apporter la subsistance. Quand nous mangeons de la viande, nous remercions la créature qui nous a nourris. Quand nous cueillons la sauge, nous rendons le tabac au Créateur pour le remercier de nous l’avoir donnée. Nous remercions le Créateur chaque jour de notre vie en empruntant notre chemin. C’est ce profond respect des Amérindiens pour la vie qui étonne tant les autres. Je pense que c’est le respect qui m’a ramené à mon héritage. Je pense que cet héritage et l’intérêt pour notre environnement, qui ont éveillé la curiosité sur notre mode de vie.
        De nos jours, les gens recherchent une plus grande connaissance de nos liens avec la Terre, le Ciel et les autres humains. Ce que j’offre ici n’est qu’un moyen, un chemin, et ce chemin comme tous les autres, mène au centre du cercle. »


Extraits de :  Center of the World. Native American Spirituality,  Don Rutledge & Rita Robinson, Newcastle Publishing Co, Inc


Boucliers spirituels & Roues de Médecine Lakota Cangleska Wakan Shield - Wahacaka    clic photo >>

Tambour cérémoniel en peau de Bison double faces Lakota Oglala     clic photo >>

Notre assortiment de Hochets Rattles Lakota Oglala clic photo >>

Nouvel arrivage de Tambours de Sibérie !   clic photo >>

Attrapes-Rêves Lakota  wo unhabli- wo iha ble  - iháŋbla gmunka clic photo >>

Colliers - Pendentifs - Parures - Talismans Médecine Lakota     clic photo >>

Les Animaux Fétiches des Zuni Pueblo du Nouveau-Mexique  clic photo >>

du Pérou Shipibo d'Amazonie et Q'ero des Andes:  clic photo >> 

Sacs à Tambour Lakota pour Ø45 cm en lainage Pendleton®    clic photo >> 

 Mailloches à tambour Lakota - têtes cuir ou fluffy -  ičábu -  Lakota Drum sticks - Beaters - Leather and fluffy head  clic photo >>


Les Contes des sages qui rêventexplorent une thématique qui touche au réel comme à l’imaginaire, qui oscille entre le raisonnable et l’extraordinaire. Le volume se construit au fil des songes et des récits du monde, ceux que l’on fait éveillés ou endormis, ceux qui traversent le temps et les continents, de l’Asie en Europe, de l’Afrique à l'Amérique, en passant par l’Océanie. Le recueil permet de prendre conscience de la relation particulière que chaque culture entretient avec le rêve (avec des contes de l’Inde, du Japon, du Mali, du Maghreb, de Pologne, etc.), que le rêve soit moteur de grandes choses ou au contraire qu’il mette en garde contre le danger, qu’il soit prophétique ou qu’il brouille les pistes. Des héros, encouragés par leurs visions aventureuses y cheminent des deux côtés du voile. Ils conduisent une riche caravane de contes, émouvants, astucieux et cocasses, escortés par une iconographie soignée.


Écrivain, poète et conteur, Patrick Fischmann réveille et rassemble des contes du monde entier. Chanteur et compositeur multi-instrumentiste, il est attentif à la mélodie de chaque sagesse. Traduit en anglais, italien, chinois et mongol, il a publié, seul ou à quatre mains, treize recueils dans la collection des « Contes des sages » des éditions du Seuil. Il créé de nombreux spectacles, participe à des créations cinématographiques. Il a enregistré une quinzaine de disques et publié des albums pour enfants.


Patrick Fischmann a collaboré à la revue HOZHO Chamanismes...

Why was I born? Why must I die? How can I interact with the universe? Are there really visions? Is there a Deity? The First Americans had the same questions. In Exploring Native American Wisdom, you are invited into a mystical dimension, where humans communicate with the Oldest Spirit of Creation, Grandmother Earth, animals, fire, wind, and water. The wisdom of the Old Ones unravels the mysteries inside us waiting to burst forth with a new understanding of our place in the circle of life. Enemies become worthy opponents. Pain becomes purification, and strife disappears. There are no problems, only challenges, when we discover that everything is sacred and that our souls are very old. Trudging becomes dancing as we gain the strength and perseverance to make our lives new each day. Exploring Native American Wisdom reveals how to live fully in a rapidly changing world, while reopening the ancient door to the divine power and wisdom within.


“When the old feather pen dances on the paper, it is sacred. Write and be the feather that dances. You are Dancing Feather!” said the elder.

 I couldn’t read or write until I was in my thirties. After returning to school as an adult I discovered that I loved to write. I stayed in school until I graduated college with my Bachelors Degree. The first poem I published was entitled “Earth’s Shadows”. It appeared in a book by Rita Robinson called “Center of the World” in 1992. The poem was written as the result of a vision I had about a renewal of native culture and spirituality that comes after a devastating socioeconomic disaster. “Crumbling the great towers to the dusty ground” was the line in that poem that marked the change about to occur in our world. Nine years after the vision was published, we all watched in horror as the terrorist attacks on the World Trade Center changed our lives forever.

“Translate our native language and culture into English.” said my Grandfather. “Tell the story of our relationship with the earth, the sky and all of nature.”


"Center of the World: Native American spirituality teaches that we are connected to one another and to all creation. From this central belief--common to all the rich and diversified Native American cultures--comes the realization that you can live a simple and reverent life in a complex world. You can repair the damage created by modern society. You can live in balance with all creation. In this important book, Don Rutledge and Rita Robinson draw upon Plains Cree and other Native American traditions to present rituals and ceremonies that speak a universal language of respect for the earth and our place among all other living things. Center of the World will open your eyes to many of the myths and misunderstandings about the Native American. The simple ceremonies and spiritual beliefs presented in this book will enrich your life and help heal the earth"


Femmes résistantes, passeurs clandestins, travailleurs sylvicoles, enquêteurs autochtones, robots jardiniers... peuplent cet univers où les plus humbles survivent en marge des régions rurales. De la forêt boréale au désert du Mexique, La Coyota dit les voix oubliées de l'Amérique du Nord. Écrivain et artiste mexicain canadien, Domingo Cisneros est né en 1942 à Monterrey, Nuevo León. Arrivé au Québec en 1968, il a vécu à La Macaza, enseigné au Collège Manitou où il a formé toute une génération d'artistes autochtones.


Métis de la nation Tepehuane, Domingo Cisneros est né à Monterrey, au Mexique, en 1942, et a émigré au Canada en 1968. Il s’est installé à La Macaza, dans les  Hautes-Laurentides, au début des années 1970, où il a dirigé le département des Arts et Communications du collège Manitou et a formé toute une génération d’artistes autochtones. Considéré comme l’un des chefs de file de la renaissance de l’art contemporain amérindien et l’un des pionniers de l’art socio-écologique, il a exposé dans de nombreux musées au Canada et à l’étranger et a développé le projet Territoire Culturel, suite à une première expédition d’art-aventure dans la Zona del Silencio au Mexique, dans le but de mettre en valeur la vocation artistique et poétique de l’environnement sauvage. 

Il vit aujourd'hui en Matawinie depuis vingt-cinq ans. Il est l'auteur de La Guerre des fleurs- Codex Ferus (anthologie) Montréal, chez Mémoire d’encrier, 2016, ainsi que  Le bestaire laurenten (contes) L’Annonciation, Les Précambriens, 1995

Domingo et sa compagne Antoinette de Robien ont collaboré à la revue HOZHO Visions

Extrait et version ebook >>> ici

version papier à venir...


À la découverte des étonnantes propriétés vibratoires des cristaux!


Se fondant sur les liens entre la physique quantique et les énergies subtiles décrites par les plus anciennes traditions, Patrick Drouot nous embarque dans un voyage au coeur du minéral et nous conduit jusqu’aux confins des mondes subtils.

Il explique le phénomène des corps de lumière, la manière de les lire et de les traiter afin de restaurer un état d’équilibre et de santé. Il propose également une nouvelle approche fondée sur l’utilisation des « cristaux-maîtres » et des « cryptes minérales temporelles ».

Dans un langage clair et accessible, ce livre ouvre une nouvelle fenêtre sur les structures profondes de l’être humain et des cristaux afin d’expérimenter sa vie de manière dynamique et créatrice.


Patrick Drouot est physicien, diplômé de l'université Columbia à New York, spécialiste mondialement reconnu des sciences cognitives, de l'expérimentation des états d'expansion de conscience et des thérapies quantiques. Il a développé une synthèse des nouvelles découvertes de la physique post-quantique et de leurs liens avec les grandes traditions de l'humanité. Il est l'auteur de nombreux ouvrages, dont les best-sellers La Révolution de la médecine vibratoire et Le Guide pratique de la cohérence cardiaque parus chez le même éditeur, ainsi que de Nous sommes tous immortels, et Guérison spirituelle et immortalité (Éditions du Rocher).

Sortie le 18 juin! Préface de Laurent Huguelit 

Angéline Bichon est peintre et illustratrice. Elle a étudié au Beaux-Arts de Nantes puis a travaillé 10 ans comme menuisière-charpentière sur les chantiers des Machines de l’Île de Nantes. Elle a illustré Mère, l’enseignement spirituel de la forêt amazonienne, ainsi que Fusion et Manifeste paradisiaque écrits par son compagnon, Laurent Huguelit, et édités chez Mama Éditions. Elle est également guérisseuse et enseigne le chamanisme au tambour depuis 14 ans aux côtés de Laurent.

🍀🍃Du nouveau ce printemps chez HOZHO ? 🍀🌱 Mais oui! !!!

Des Tambours, des Hochets, des Oracles et des Tarots! Si la "divination" vous intéresse.... ! 🙏🍀🌟🌀🌀🌀

Vidéo démo d'un Oracle puissant, subtil et raffiné, canalisé et créé par notre chère amie Bouchra ! 🌹🌍✨✨✨

sur FB>> Healing Doors Tarot





Au plaisir de vous accueillir à Lausanne et sur notre site!
​Caŋte etaŋ wopila taŋka uŋnic'upi lakota
Un grand Merci de tout notre coeur!

Sandrine Catherine 


 🪶

​​​​​​​Jeudi de l'Ascension 29 Mai - jour férié !

🪶 

🦅☀️ Nos horaires d'ouverture ☀️🦅

du Mardi au Vendredi: 10h30 à 13h00 et 14h30 à 18h00
les Samedis matins sur rendez-vous,

pour les tambours et pièces particulières

🪶

HOZHO Visions  Tambours, Art & Artisanat des Peuples autochtones
Rue Pré-du-Marché 4
CH-1004 Lausanne VD
T 021 691 02 87

ABO InfoLettres

NOTÉ SUR
Tripadvisor
HOZHO Visions Galerie des Premiers Peuples